La structure brute en plan libre de la bibliothèque Peel isole et protège ses lecteurs grâce à une série de «cocons». À la frontière entre récit et architecture, cette salle de lecture plonge le visiteur dans un isolement total. Ce mobiler/architecture issue d’un imaginaire élaboré à la main tout on long du projet, découle d’une réflexion sur la limite entre la fiction et le projet. Ainsi, les formes irrégulières de la salle principale, d’apparence arbitraire, tendent à respecter une logique structurelle imperceptible, mais bien fonctionnelle.